Pourtant la demande existe bel et bien...
Les raisons évoquées sont en général la faiblesse du taux
d'alphabétisation, le prix du livre, la carence de politique du livre au niveau étatique, le multilinguisme et la concurrence des éditeurs étrangers.
Malgré tout, de nouvelles librairies et maisons d'édition continuent de contribuer au renouvellement de la production et à la professionnalisation du secteur, notamment.
La place du livre dans la vie culturelle et économique de l'Afrique subsaharienne dans le domaine de la littérature pour la jeunesse (...)
[Lire la suite de l'article de Noël Ndong publié dans Les Dépêches de Brazzaville]